Après une édition annulée, une édition toute pitite, c’est le retour des eurocks !

Ah, euh, ben non en fait, yaura qu’un jour. Et ça aurait pu être pire.

Au menu, un groupe de métal togolais, des prestations nulles de Meute et Simple Minds, des gros problèmes de gestion de la machine à fumée sur la grande scène, des photos d’Izïa et beaucoup de noir & blanc pour cacher la misère.

Mais c’était vachement bien quand même, à n’y rien comprendre.

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Apparemment la scène tient encore debout.

Voici le théorème des Fonctions Continues Strictement Monotones : y a toujours un gars avec un drapeau local qui se met devant toi pour t’empêcher de prendre des photos.

Ils repartaient pour le Vosgistan. Le Last Train for Bussang.

Oui, je sais.

Ouais voilà, salut.

Allons donc voir Frustration.

Alors je mets l’index là, le majeur ici…

Edgar dans Men In Black

Fulguro-poings. Enfin, je crois.

Quand tu fais de la Air crucifixion

Ben alors, tu m’aimes pu ?

Ftaghn.

Allez, faut partir maintenant.

Ben ok, on va là bas.

Même la Moldavie à l’Eurovision est plus fun.

Et on tend les bras pour attraper le ponpon !

Y a un côté mégalo, la seule personne éclairée c’est Izia. Les autres n’existent que quand elle passe à côté.

🎵 Viser la lune 🎵

Ah, trouvée.

Voilà, c’est tout ce qu’il reste de Simple Minds. Même là on voit l’image que se fait RTL2 du rock.

Oui, je suis là

Go Nekpau !

ça juge un peu non ?

Allez, salut et à l’année prochaine !